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Un petit aperçu de ma vie:des potes, du volley et la fête....
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Un petit aperçu de ma vie:des potes, du volley et la fête....

VIP-Blog de salegosse78
  • 10 articles publiés
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  • Créé le : 17/05/2007 17:39
    Modifié : 20/08/2007 15:29

    Fille (18 ans)
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    Complexes ou Mal être?

    20/08/2007 15:29

    Complexes ou Mal être?


    Tout va très bien, notre vie ressemble à celle des autres, Rien à Signaler.
    Puis, on grandit, notre corps change, des formes apparaissent... bref on devient une femme. Vous allez me dire qu'y a-t-il de grave à devenir une femme? Au contraire, beaucoup de petites filles sont pressées de grandir, d'entrer dans "la cour des grands". Seulement pour d'autres, c'est un choc violent, elles n'acceptent pas de voir leur corps changer, de grossir ou plutôt de prendre des formes.
    On dit que pour que les autres vous aiment, il faut d'abord commencer par s'aimer soi-même.
    Oui... mais c'est bien ça le problème
    Comment s'aimer si à chaque fois que vous vous regardez dans la glace, vous ne vous reconnaissez pas, vous avez l'impression de voir une autre. Comment s'aimer si vous détestez tout ce que vous êtes?
    De nos jours, si vous ne correspondez pas au dictat de la mode, vous n'êtes rien. Être mince est devenu une reconnaissance sociale. Cette condition a pris des proportions tellement énormes qu'aujourd'hui, des gens en meurent. Quoiqu'il arrive, on ne se trouvera jamais assez mince, jamais assez belle. Tout en prenant comme point de comparaison ces filles dans les magazines. Evidemment que vous ne leur ressemblerez jamais puisque ces filles n'existent tout simplement pas. Toutes les photos sont retouchées, aucune imperfection ne leur échappe.
    Au fond, ce n'est pas tant votre regard sur votre corps qui vous dérange mais bien celui des autres. En effet, s'il est un fait constatable de nos jours c'est qu'on ne vit plus pour soi mais pour les autres, avec toujours à l'esprit le souci de leur plaire, de correspondre à cette uniformisation de la société qui tend à s'installer.
    Bien sûr, tout le monde a ses petits complexes puisque le propre de l'être humain est d'être imparfait. Ce que je veux dire, c'est que le bonheur passe avant tout par l'acceptation de soi-même. Attention, je ne dis pas que lorsque l'on s'assume on est forcément heureux, non bien sûr, mais on se sent mieux.
    Il faut apprendre à relativiser car il y a des choses bien plus graves dans le monde. Mieux vaut être bien portant que de crever la faim. La vie est si courte qu'il serait bête de gâcher ces précieux instants pour des histoires de formes en trop. Il faut trouver le coeur du problème pour réussir à s'en débarasser.





    Remord ou Regret?

    20/08/2007 14:57

    Remord ou Regret?


    Il paraît qu'il vaut mieux avoir des remords que des regrets. Du moins, c'est ce qui se dit. Mais il faut bien faire la différence entre les deux car beaucoup trop de gens les confondent.
    Le regret concerne un acte que nous n'avons pas fait mais que nous aumerions faire alors que le remord est un sentiment de culpabilité par rapport à quelque chose que nous avons fait.
    Je ne pense pas qu'il y en ai un meilleur que l'autre. En effet, regretter s'apparente à imaginer, à se demander sans cesse ce qu'aurait été notre vie si nous l'avions fait, si cette action aurait changé le cours des évènements. Avoir des remords est une chose tout à fait différente mais détrompez-vous car cela ne lui enlève pas son caractère destructeur. Il est vrai qu'en ayant des remords, on n'aura pas à inventer ce qu'aurait pu être notre vie mais plutôt à se dire "Advienne que pourra".
    Seulement, sommes nous capables de porter le poids de nos actes?
    Quand bien même nous le serions, ce vice continuerait à nous ronger petit à petit de l'intérieur jusqu'à pousser à bout notre résistance. C'est comme une petite voix qui serait dans notre tête et qui nous rappellerait continuellement le côté négatif de nos actions.
    Aujourd'hui, je peux affirmer avec certitude qu'aucun être humain n'est capable d'y résister.
    Alors, avec toute la ruse qui lui a été confiée, l'Homme a trouvé un moyen de se débarasser du problème. Du moins, c'est ce qu'il croit car en réalité l'Homme n'a de cesse de se cacher la vérité, de nier l'évidence, de détourner ou encore de fuir le problème.
    Ainsi, on parle de confession ou d'aveu, le soi-disant remède miracle à la culpabilité. On nous fait croire qu'en avouant nos fautes nous nous sentirions mieux. Certes, c'est une évidence seulement pour combien de temps? De plus, reconnaître ses torts n'est pas une moindre chose à faire car cela nous engage, premièrement,  à  reconnaître notre part de responsabilité et, deuxièmement, avouer ne veut pas dire oublier. Bien que la confession nous donne l'impression de nous sentir mieux cela n'effacera jamais l'acte que nous avons commis, c'est juste un moyen de se sentir mieux pendant un instant, comme si nous n'avions rien fait, comme si rien ne s'était passé. Cependant, ce qu'il faut savoir, c'est que dans nos moments les plus sombres, notre culpabilité revient nous hanter afin de profiter de cet instant de faiblesse pour nous faire craquer.
    Alors, je finirais en disant que c'est à chaque être de décider ce qu'il préfère:
    S'imaginer ce qu'aurait pu être sa vie
    Ou vivre avec le poids de son acte jusqu'au dernier instant.
    Seulement, ce qu'il doit savoir, c'est que quoiqu'il choisisse, il souffrira.





    Le temps...

    31/05/2007 17:27

    Le temps...


        Tout commence si bien et pourtant tout finit si mal. Trop de bonnes nouvelles cachent une mauvaise nouvelle. En apparence, elle sourit mais, au fond, elle pleure. Elle fait comme si de rien n'était, restant droite, noble et fière comme touours. Elle a réussi à cacher son mal depuis si longtemps, mais maintenant, c'est trop lourd à porter pour ses pauvres et petites épaules amaigries par la maladie. Ce n'est pas un, ni deux, ni trois petits kilos qu'elle a perdu mais bien vingt ou trente.
        Elle, si joyeuse, si belle, si drôle, tout simplement si vivante. Aujourd'hui, elle n'est plus que l'ombre d'elle-même, un esprit dans un corps qui le rejette, qui se fait souffrir pour se libérer de ce mal. Un mal inconnu, incurable. Il n'y a donc rien d'autre à faire qu'attendre. Mais attendre quoi? Tout simplement la fin ou, dans le meilleur des cas, un autre monde, une autre vie. Que sais-je de ce qui nous attend après!
        Elle ne peut qu'espérer que tout ira mieux, que tout sera bientôt fini. En attendant, elle ne veut pas faire souffrir les siens, elle ne veut pas les inquiéter, les préoccuper avec tout cela. Elle veut qu'ils ne gardent qu'un bon souvenir et non celui d'une vieille femme seule. Une personne qui souffre, c'est déjà bien assez. Après tout, c'est sa maladie, c'est son mal, c'est son épée de Damoclès, tout simplement son fardeau qu'elle se doit d'assumer seule. C'est peut-être un peu égoïste de dire ça mais pourquoi devrait-elle partager tout cela?
        Ils sont trop jeunes pour prendre conscience de la réalité de la vie, de sa fragilité et du peu de temps qui nous est conféré sur cette Terre. Ils doivent seulement conserver une belle image d'elle, celle de la grand-mère qui les gardait, qui leur lisait des histoires, qui les consolait, qui les grondait parfois, qui les gâtait souvent, qui leur faisait de bons gâteaux... Pas celle d'une vielle femme marquée par la maladie, qui se casse un os à chaque pas, enfermée dans une triste chambre blanche qui sent l'hopital. Chaque respiration lui brule la gorge, chaque parole révèle son incapacité à mettre des mots sur ses idées, chaque geste lui donne l'impression d'un coup de poignard en plein coeur. Elle ne reconnaît plus personne mais elle sait pourtant qu'elle les connait. Elle oublie ce qu'elle vient de lire il y a cinq minutes et pourtant elle se rapelle de son premier baiser. Elle se sent comme étrangère à ce monde et ne sait quoi faire pour s'en sortir. Elle espère que ce soit un cauchemar et qu'elle va bientôt se réveiller, ouvrir les yeux.
        Et bien non, c'est la dégénérescence de son corps et peu à peu de son esprit, ce qu'on appellerait communément de nos jours la vieillesse, grande maladie à laquelle personne n'échappe.


    Commentaire de Florent (de Trégunc si tu as oublié) (01/08/2007 18:36) :

    Bon voila. Je ne sais pas ce que tous ces articles valent en vrai mais perso franchement j'aime énormément toutes tes réflxions que je trouve plutot juste. Est-ce peut-être parce que je n e pourrai faire aussi bien?? Je ne sais pas mais de mon point de vue tu es juste dans tes paroles donc une fille intelligente (et en plus charmante !!!)





    Elle l'aime, il joue

    22/05/2007 18:19

     Elle l'aime, il joue


        Oui, elle a 17 ans et oui, elle parle d'amour. Vous devez vous demander ce qu'une adolescente de 17 ans peut bien connaître de l'amour. Contrairement à ce que pense la majorité des gens, il ne suffit pas d'avoir vécu de nombreuses histoires d'amour pour reconnaître ce que c'est réellement. L'amour, elle va vous dire ce que c'est. L'amour, ça se ressent, c'est ce qui vous noue l'estomac quand vous savez que vous allez le voir, c'est ce qui vous donne envie de crier votre joie au monde entier lorsqu'il vous envoie des messages. Mais l'amour c'est aussi ce qui vous fait pleurer, ce qui vous donne envie de mourir quand vous le perdez. Voilà ce qu'est l'amour, et elle n'a pas besoin d'avoir 80 ans pour savoir comment le reconnaître. C'est bien beau d'être amoureux mais je vais vous posez une question: A quoi cela sert-il d'être amoureuse si c'est pour l'être seule?
        Dès qu'elle l'a vu pour la première fois dans ce bus, que leurs regards se sont croisés, elle a su que c'était lui, qu'il pouvait lui apporter ce qui lui manquait tant depuis de si longues années, qu'il pouvait être celui qu'elle attendait. Elle ne mangeait plus, elle ne faisait que penser à lui, que parler de lui, que jurer par lui, que vivre à travers lui. Elle l'épiait, guettait ses moindres gestes, écoutait ses moindres paroles pour avoir une chance de le croiser, juste le voir, juste encore une fois, juste un instant, juste pour que son manque se comble pendant un moment.
        Il ne parle pas beaucoup mais peu importe puisque le regarder lui suffisait amplement. Ses yeux sont comme un livre et chaque regard qu'il lui lance est un mot qu'elle comprend, qu'elle interprète ou tout simplement qu'elle se plait à imaginer. Il ne se passe rien et pourtant il se passe tant. Ils ne rient pas, ils sourient. Ils ne s'embrassent pas, ils s'effleurent les joues. Ils ne parlent pas, ils se contemplent. Ils ne crient pas, ils murmurent. Elle sous-entend, il ne comprend pas. Elle ne peut déjà plus se passer de lui, il l'abandonne chaque jour. Elle commence à l'aimer et lui... Au fond, comment savoir ce qu'éprouve quelqu'un qui ne sait lui-même pâs ce qu'il veut.
        Puis, chacun rentre chez soi, elle, un peu plus déçue que les autres. En effet, elle rêvait d'un coup de foudre digne des meilleurs films américains, de la magie digne des plus beaux contes de fées, qu'il se passerait quelque chose, qu'il y aurait une suite.... mais rien.... Tout le monde retourne à son petit train-train mais elle, elle ne pouvait pas oublier. Oh non, surtout pas, il ne fallait pas oublier, oublier ces jours, oublier ce garçon, oublier cette histoire, oublier ce rêve, oublier cet amour.
        On lui dit que ce n'est pas grave, qu'avec le temps tout finira par aller mieux, qu'elle le trouvera son prince charmant, qu'il réparera ses blessures ouvertes, qu'il sera digne d'elle, qu'il lui apportera tout ce qu'elle attend, qu'il sera là. Juste quelqu'un qui l'aimera.... Au fond, elle, elle ne demande pas plus que ça.





    Un, Une, Nous...

    17/05/2007 20:29



        Il paraît que c'est la mode de parler de la jeunesse dorée en pleine déchéance, des jeunes qui n'ont pas eu besoin de verser une goutte de sueur pour pouvoir vivre ou ne serait-ce que pour pouvoir manger une assiette de pâtes. Ces héritiers qui se foutent de tout, de vous, de nous mais surtout d'eux-mêmes. Ils ne se sentent vraiment vivants que lorsqu'ils se font mal, que ce soit à leur corps ou à leur âme. Drogue et alcool sont devenus les ingrédients essentiels de leurs soirées alors qu'ils ne devraient être qu'accessoires. Ils veulent oublier, s'évader, ce qu'ils résument à faire la fête. Mais au fond, que cherchent-ils vraiment à fuir, qu'est-ce qui leur fait si peur?
        Il paraît que c'est la mode de parler de ces jeunes à problèmes, torturés par la nécessité de rester en vie et cette attirance irrépréssible vers le néant, le "non-être". Certains se retrouvent en difficultés par la faute d'un mauvais calcul de l'enchaînement des choses, d'autres à cause d'un abus de pouvoir mais, en aucun cas, ces jeunes n'ont choisi de sortir du système, d'être marginalisé, rejeté par ceux qui, autrefois, les entouraient. Il y a ceux qui sombrent dans la décadence (prostitution, vol, drogue, alcool...) et ceux qui tentent vainement de s'en sortir.
        Vous allez me dire mais quel est le rapport entre ces deux mondes si différents. Et pourtant.... tous les rassemble. Il est vrai qu'ils n'ont absolument pas les mêmes conditions de vie et pourtant, ils se ressemblent tellement, chacun tente d'exister dans un monde qui les rejette. Ils recherchent à fuir leurs responsabilités pour les uns, leur misère pour les autres. Chacun tente d'altérer la vision qu'il a de la réalité en remplaçant ce qu'ils sont par ce qu'ils sont devenus. Quoiqu'il en soit, ils sont tous perdus, cherchant un fond sur lequel donner un petit coup de pied pour remonter à la surface.
        Aujourd'hui, je n'ai pas l'ambition d'écrire quelque chose à la mode et je ne prétends pas non plus en faire un chef-d'oeuvre. Je veux juste faire quelque chose de différent, qui ne ressemblepas à tout ce qui se fait de nos jours. Mais vous allez me dire à quoi bon aborder les thèmes précédents si ce n'est pour les traiter par la suite? Je vous répondrais seulement en vous disant qu'aujourd'hui qu'en débutant ce texte de la sorte, je tiens à insister sur le fait qu'on parle beaucoup des extrèmes mais qui parle des autres? Qui parle de vous? De nous? Et pourtant, ce n'est pas comme s'il n'y avait pas matière à discuter. Chaque personnalité renferme sa richesse et c'est ce qui fait aujourd'hui le trésor de ce monde. C'est de ces gens là que j'ai envie de parler. On s'identifie souvent aux personnages de ces séries américaines qui vivent des histoires trépidantes, des amours déchirés. Mais à quoi bon s'identifier à eux alors même que nous savons pertinemment que rien de tel ne nous arrivera? On se plait à s'imaginer une deuxième vie dans laquelle on tomberait amoureux d'une personne et que cette idylle ressemblerait à celle des films. L'histoire commencerait par une romance passionnée qui serait chamboulée par un évènement (ou un élément) perturbateur qui se terminerait par un tendre baiser sous une pluie déchaînée. Vous en connaissez beaucoup vous des gens à qui cela est réellement arrivé? En tous cas, moi, aucune!!!!
        Certains aimeront, d'autres détesteront ce que je vais écrire et c'est bien cela qui est merveilleux car c'est le signe même que vous ferez parler vos sentiments, votre personnalité, votre unicité.
        On cherche tous à s'échapper de notre vie, tenter d'oublier pendant quelques secondes qui nous sommes et les responsabilités que nous avons. Et oui, même moi, à 18 ans, je ressens ce besoin, cette envie de tout lâcher pour tout recommencer. Malheureusement, cela est impossible, on ne peut pas revenir en arrière ou modifier le cours des évènements. On ne peut qu'assumer nos actes ou subir les conséquences de ceux des autres. C'est ce que la vie m'a appris. Pour bien comprendre tout cela, il faut bien sûr s'appuyer sur des exemples. C'est pour cela que j'ai décidé aujourd'hui de vous faire partager la vie d'une adolescente et les différents problèmes qui touchent les jeunes actuellement dans notre société. Peut-être que certaines se retrouveront dans ces histoires mais attention cela ne s'adresse pas qu'aux filles car vous aussi messieurs vous pourrez tenter de comprendre ce qui se passe dans la tête des filles, perdues entre leurs sentiments d'enfant et de femme.
     





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